Arterial Network renvoie les journalistes culturel camerounais sur les bancs

Article : Arterial Network renvoie les journalistes culturel camerounais sur les bancs
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2 octobre 2014

Arterial Network renvoie les journalistes culturel camerounais sur les bancs

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Les 24, 25 et 26 Septembre dernier ont été consacrés à la consolidation des bases déjà acquises des journalistes culturels au Cameroun. Ces trois jours d’échanges, de questionnement et de coaching se sont tenus dans les locaux de l’Institut Français de Douala grâce à l’initiative de Artérial Network soutenu par les panélistes et surtout les journalistes qui ont donné de leur disponibilité pour la bonne marche de cette brillante initiative.

Arterial Network, implanté dans plus de 35 pays  africains, pose ses valises au Cameroun en Novembre 2010à la Fondation Solomon Tandeng Muna à Yaoundé. Le concept vise à soutenir la croissance et l’efficacité des arts et de la culture en Afrique ainsi qu’à améliorer la pérennité des industries culturelles et créatives en Afrique. Ce projet haut en ambition est dirigé des mains de maître du sieur Chembifon Muna.

C’est donc dans cet ordre d’idées que Arterial Network a organisé dans la ville de Douala du 24 au 26 Septembre 2014 à l’Institut Français a fait appel à des journalistes, communicateurs  fort expérimentés pour apporter le petit plus qui pourrait faire jaillir « l’étincelle » de la critique d’art au Cameroun. 
« Journalisme et critique d’art ». C’est le thème qui a accompagné ces grandes journées animés par Alain Tchakounté qui a développé le sous thème: « la nécessité d’un bagage culturel et d’une connaissance de la démarche de la création gage d’une critique d’Art professionnelle et utile ». Un exposé très salué par les exposants qui ont découvert le terme « Référent africain » mais surtout qui a vu comment s’en servir.
« Comment améliorer les arts et la culture? » , l’ancien journaliste et aujourd’hui communicateur dans une multinationale; Blaise Etoa a honoré les participants en venant partager son savoir avec eux.
Enfin, « comment lire et interpréter une œuvre d’Art et  lui donner un sens » .Une partie tout aussi appréciée par les participants car l’orateur Théodore Kayesse (journaliste critique d’art) a laissé la possibilité à chacun d’exprimer ce que lui inspirait l’image qu’il proposait à chaque fois. Une critique proprement dite aura même été présenté à la fin de ce séminaire – atelier sur une œuvre musicale du Camerounais Guy N’sangue Akwa et du français Jean – Luc Ponty; le titre « Muna Mboa » brillamment critiqué par les participants Rita Diba du journal Cameroon Tribune et Mathias Mouende qui compte dans les effectifs du quotidien « Le Jour ». 

Un atelier qui s’est déroulé dans une ambiance conviviale et familiale. Et pour raison la majorité des participants se connaissent déjà. On peut notamment préciser la présence de journalistes participants en la personne de Evelyne Ngo Lambidjeck de la CRTV Douala, Doris Tchatchoua (In Mag), Laura Dave (Vox Africa), Linda Ndendi (Ell FM), Alix Fétué (Nostalgie), pour ne citer que ceux là.
Une remise d’attestation de participation a eu lieu en présence de Monsieur le délégué régional de la culture et des Arts de Douala.
« Esuku ndé yé lambo la boso ô longuè la moto »; L’école est la première chose dans la vie d’un homme.

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